• Aller au diable vauvert !

     

    Mais d’ou peut bien venir cette expession ?

    Le fait de dire d’aller par monts et par vaux nous donne dejaà un indice, (parcourir le pays dans toute ces configurations geographique), mais pour ce qui est du diable, que vient faire Satan la dedans ?

    Sans doute sont cote mysterieux, d’ou envoyer ou bien aller au diable vauvert, donc aller partout et nulle part, mais loin et ailleurs !  

     

     

     


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    A la queue leu-leu. 
     
    Cest le latin "lupus" qui donna au XIe siècle les noms "leu" et "lou". Deux décennies plus tard y sera ajouté un "p" donnant notre actuel "loup". Toutefois la forme "leu" subsistera jusquau XVIe siècle. "A la queue leu leu" renvoie donc aux loups qui, se déplaçant bien souvent en meutes, se suivent et marchent dans les pas les uns des autres, soit "les uns derrière les autres". 
     
     

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    A tire larigot
     
    Née dès la fin du XVe siècle de l’association du verbe "tirer" (sortir un liquide de son contenant), et du nom "larigot", sorte de petite flûte, cette expression était à l’époque principalement associée au verbe "boire". "Boire à tire larigot" était donc pour les buveurs une incitation à faire sortir le vin des bouteilles comme on faisait sortir le son de l’instrument.
     
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    flute_bec_alto.jpg 
     

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    C'est la fin des haricots
     
    Au siècle dernier, on distribuait dans les internats des haricots aux élèves, quand on ne savait plus quoi leur donner en guise de nourriture. En effet, le haricot était considéré comme un aliment de base, voire médiocre. Quand il n’y avait même plus de haricots à manger, c’était la fin de tout. C’est de là que provient l’expression "C’est la fin des haricots" que l’on emploie quand on veut signifier que "c’est la fin du monde", souvent de façon ironique. 
     
      
     

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    Ca fait la rue Michel !
     
    Cette rue est à l'origine d'une expression typiquement parisienne : "Ca fait la rue Michel". Liée directement à une autre expression : "Ca fait le compte", d'où le lien avec la Rue Michel-le-Comte. D'une manière plus explicite, faire la rue Michel veut dire : "c'est bon", "ça suffit", "ça va aller", "ça conviendra", "ça va le faire". 
     
      
     

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    La saint « glinglin » <o:p></o:p>

    ou Saint gling-gling

     

     La "Saint Glinglin" semble être née vers 1897 suite à la déformation du mot "seing" (signal). En ancien français, ce nom issu du latin "signum" était utilisé pour désigner un bruit de cloche, et plus tard la cloche elle-même. Le terme "Glinglin" proviendrait quant à lui des verbes "glinguer" et "ginglier" (dialecte de l’est de la France) signifiant "sonner" ou "résonner". Il se serait donc agit à l’époque de jouer sur les mots et promettre une chose pour la Seing Glinglin (moment où la cloche sonnera) et non à une date du calendrier où l’on aurait fêté le Saint Glinglin.

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