• <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 coordsize="21600,21600" o:spt="75" o:preferrelative="t" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" filled="f" stroked="f"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:extrusionok="f" gradientshapeok="t" o:connecttype="rect"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock v:ext="edit" aspectratio="t"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_i1025 style="WIDTH: 514.5pt; HEIGHT: 45pt" type="#_x0000_t75" o:ole=""><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\DOM\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.wmz" o:title=""></v:imagedata></v:shape>

    <o:p> </o:p>

               <o:p>        </o:p>

                                         La mort est morte !  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

       Un très vieux monsieur très , très vieux qui vit seul avec sa fille qui a 55 ans est retrouvé un matin par celle ci froid complètement mort, elle panique bien qu'elle savait que cela devait arriver un jour, elle appelle le médecin du village ce dernier un quinquagénaire élevé a la charcuterie régionale et aux boissons correspondantes donc bon vivant bien rouge constate le décès du père de la fille du mort, il lui fait le certificat de décès en buvant un coup de blanc sur le coin de la table de la salle a manger, puis il quitte la vielle longère ou repose le père Leguenec, jean Yves de son prénom en arrivant au village il passe au café de la place boire un petit coup de blanc avant de rentrer a son cabinet, la il rencontre le maire et un ouvrier municipal, il leur apprend la mort du père Leguenec ensuite de quoi il rentre chez lui voir les visites qui l'attendent <o:p></o:p>

     Marise Leguenec la fille du défunt prévient les pompes funèbres pour qu'ils organisent les obsèques de son père, la personne lui répond que quelqu'un passera dans l'après midi pour préparer le corps a la cérémonie, l'après midi quelqu'un sonne a la porte de la longère endeuillée Marise qui était au poulailler arrive pour ouvrir devant la porte ce trouve planté un homme vêtu d'une parka portant une grosse valise il se présente en disant qu'il avait rendez-vous pour embaumer un défunt cette après midi, elle le fait entre et le conduit dans la chambre de son père en arrivant sur le pas de la porte elle a un sursaut le lit est vide, elle se tourne vers l'homme qui le suivait et lui dit<o:p></o:p>

    _ Je ne comprend pas mon père est mort cette nuit et ce matin le docteur est venu constater qu'il était mort <o:p></o:p>

     L’homme lui demande <o:p></o:p>

    _ Mais alors ou est il ?<o:p></o:p>

    _ Je ne sais pas <o:p></o:p>

     Ils cherchent le mort dans toute la maison mais rien le mort a disparu, l'homme lui dit <o:p></o:p>

    _ vous devriez prévenir les gendarmes un mort ça ne disparaît pas comme ça tout de même <o:p></o:p>

     elle prend le téléphone et compose le numéro de la gendarmerie dès que quelqu'un lui répond elle raconte ce qu'il se passe, le brigadier lui dit qu'il va venir voir ce qu'il se passe chez elle, l'homme des pompes funèbres lui dit qu'elle le tienne au courant et la salut en la quittant, le gendarme arrive presque aussitôt il recommence a fouiller toute la maison mais toujours pas de cadavre, il la quitte en lui disant qu'il allait revenir avec du matériel d'investigation et s'en va, elle reste seul dans la grande maison silencieuse elle décide d'aller finir de donner a manger au poules et aux canards en passant devant la grange ou son père range ses outils agricole elle entend du bruit, elle s'approche de la grange en faisant attention ne sachant pas ce qu'elle va découvrir derrière la grande porte en planche, doucement elle tire la porte sans se faire remarquer et la elle aperçoit son père en train de graisser les roulements de la charrue, elle a un moment de recule puis se ressaisit et dit <o:p></o:p>

    _ Mais que fait tu la ?<o:p></o:p>

     Son père se retourne en sursautant <o:p></o:p>

    _ t'es pas folle de me faire peur comme ça <o:p></o:p>

    _ Mais papa tu te sent bien ? <o:p></o:p>

    _ ben, dame oui pourquoi ? <o:p></o:p>

    _ Ce matin tu n’étais pas bien <o:p></o:p>

    _ Ce matin, j'étais très bien ce matin ! <o:p></o:p>

     Marise  n'ose pas insister elle retourne a la maison téléphoner au docteur celui ci se met presque en colère quand elle insiste en lui demandant si il était sur que son père était bien mort ce matin quand il l'a ausculter, en fin de compte le médecin décide d'aller chez les Leguenec pour tenter de comprendre de quoi il retourne, en route il se dit je suis pourtant certain qu'il était bien mort ce matin, enfin il arrive Marise qui le guettait lui dit <o:p></o:p>

    _ Il est dans la grange, mais ne lui dite pas que ce matin il était mort vous connaissez son caractère il s'emporte facilement <o:p></o:p>

     Le médecin s'en va retrouver le père Leguenec qui se trouve toujours dans la grange a avec son pot de graisse a la main, le médecin entre et dit <o:p></o:p>

    _ Alors père Leguenec, comment ça va ? <o:p></o:p>

    _ Ça va, et vous toubib que venez vous faire par ici ?<o:p></o:p>

    Le médecin s'approche et tend la main vers le vielle homme qui lui serre respectueusement, le médecin est étonné par la froideur de la main de son vis a vis sans rien laisser paraître il lui dit<o:p></o:p>

    _ Alors ça va mieux que ce matin <o:p></o:p>

    _ ah, ça y est ça recommence vous aussi mais j’étais très bien ce matin, mais qu'es que vous avez tous aujourd'hui <o:p></o:p>

    Le médecin insiste<o:p></o:p>

    _ Mais vous savez bien que je suis venu vous voir ce matin <o:p></o:p>

    _ non mais ça ne va pas Jules, tu a encore trop bu de blanc aujourd'hui si je t'avait vu se matin je m'en rappellerai tout de même, aller retourne au bistrot et fout moi la paix <o:p></o:p>

     Sur ces mots le médecin n'ose même pas répondre et s'en retourne en route avant de monter dans sa voiture il croise Marise qui le guettait de loin, elle lui demande <o:p></o:p>

    _ Alors ? <o:p></o:p>

    _ alors, c'est toujours la même tête de mule mais il y a une chose qui m'étonne quand je lui est serré la main il était gelé, a part ça il m'a foutu dehors <o:p></o:p>

     Le jour suivant marise se lève la première comme a son habitude en passant devant la porte de la chambre de son père elle écoute, et elle l'entend grogner alors elle descend préparer le petit déjeuner peut après son père apparaît en lui disant bonjour elle le regarde en lui répondant elle remarque qu'il est très pale, et elle lui dit <o:p></o:p>

    _ Tu n’es pas bien, tu es tout pale <o:p></o:p>

     Son père lui dit qu'il va très bien sur un ton qui impose le silence, en fait il est plus que pale il est gris, gris vert même elle lui demande <o:p></o:p>

    _ as tu bien dormis ? tu a vraiment l'air fatigué <o:p></o:p>

    _ Oh mais y en a assez maintenant déjà hier l'autre ivrogne de Jules qui est venu me casser les pieds a cause que cet abruti s'est trompé de client et aujourd'hui toi qui me prend pour un vieillard sénile tu verrat quand je casserai ma pipe tu regretteras toutes les misères que tu me fait <o:p></o:p>

     Le vielle homme blafard avale un bol de café en grognant que c'est trop chaud et sort. <o:p></o:p>

     les jours passent et le vielle homme devient de plus en plus verdâtre, sa peau a gonflée un peut des gerçures purulentes sont apparus, et une odeur de pourriture le suit partout ou il se trouve, un jour a la demande de marise, le maire qui est un vielle ami de son père passe le saluer, le père leguenec heureux de cette visite sort de sa grange il tend la main a son vieux copain qui lui attrape la main et la secoue énergiquement et tout étonné il se retrouve avec la main du père Leguenec qui s'est décrochée de son poignet, alors le vielle homme se met a engueuler, son ami espèce de con tu a vu se que tu m'a fais abruti, fout le camp de chez moi je ne veux plus te voir, le maire confus bredouille des excuses qui ne font qu'énerver encore plus le vieux breton, celui ci lui dit que si il ne s'en va pas immédiatement il va lui foutre un coup de fusil avec la main qui lui reste , le maire excédé lui répond qu'il a intérêt a se dépêcher avant qu'elle ne tombe toute seule une fois le maire partis marise s'approche de son père et lui demande si il a mal, il répond que non qu'il ne sent rien du tout, peut après elle appelle le médecin en lui racontant ce qui vient d'arriver celui ci lui répond, je te l'ai déjà dit ton père est mort alors c'est normal qu'il se décompose mais cette vielle tête de mule est tellement têtu qu'on peut bien lui dire n'importe quoi, il voudrait pas nous croire, ma pauvre fille je ne sais pas quoi te dire tu auras beau lui dire qu'il est mort, ce que tu risque c'est de te faire engueuler. <o:p></o:p>

     

      Certaine nuit dans les hameaux qui entourent Pénestin quand il y a de la brume on peut entendre des craquements étrange et rencontrer un squelette qui déambule, a qui il manque une main.

     DOM.

    <o:p>                              </o:p>

    <o:p>                                </o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p></o:p> 

    <o:p></o:p> 


    7 commentaires
  • A CACHAN, LES CLANDESTINS ONT EUT DES LOGEMENT !

    MAIS LES FRANCAIS ATTENDENT TOUJOURS POUR EN AVOIR !

    DONC LA FRANCE AUX ETRANGERS !


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  •  

                je crois qu'on n'élèvent pas les gosses de la même manière !

     

     


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