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    Les Templiers

    Voici un montage vidéo sur les chevaliers du temple que j'ai plaisir a mettre en ligne !

     


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    Vendredi 13<o:p></o:p>

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    Le vendredi  13 n’est pas vraiment un jour de chance car pour les chevaliers dit  « les templiers » le vendredi 13 octobre 1307 fut le pire jour de cet ordre mi religieux mi chevalier, c’est le jour ou Philippe Le Bel fini par se débarrasser des templiers, a qui il devait trop d’argent, n’étant plus en mesure de rembourser ses dettes Philippe Le Bel ne trouva comme solution que d’éliminer les créanciers en les accusant de sorcellerie. <o:p></o:p>

    C’est au mois de mars 1314 que Jacques de Molay  « le grand maitre des templiers » fut brulé vif sur un bucher avec d’autres templiers, et c’est sur ce bucher que le grand maitre lançât la malédiction contre les rois de France, malédiction qui prit fin a la mort de Louis XVI.<o:p></o:p>

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    L’œuvre du scorpion

    Avant d’entrer dans le vif du sujet pour ce qui concerne les travaux pharaonniques de Mitterrand, il y a aussi une énigme, en mars 1981 à un mois des élections présidentielles, alors qu’il manquait environ un million de voix à François Mitterrand, il est allé à Rennes le Château minuscule village perdu au fin fond de l’Aude visité le site ésotérique et mystérieux qui attire tant de curieux de tout genre. Mitterrand n’avait il pas autre chose de plus urgent à faire a cette époque précise ? A moins qu’il n’y ait eu un but précis !

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    Mais quel était donc le but des grands travaux entrepris par François Mitterrand dans la capitale, pourquoi cette pyramide ésotérique a l’entrée du musé du Louvre, pyramide qui serait faite de 666 panneaux de verre ?

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    Que doit-on penser de ces horribles colonnes de Buren dans la cour du Palais royale, endroit troublant où l’on ne peut séjourner que quelques minutes sous peine d’en repartir avec des maux de tête ?<o:p></o:p>

    A par le fait que la disposition des dites colonnes qui est identique aux statues du temple aztèque Téotihuacan et de son cycle lunaire ?

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    La grande arche de la défense qui elle aussi se réfère a un temple sud américain, puisqu’elle est ornée de 365 plaques de béton tout comme la pyramide Maya Chichen Itza

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    <o:p>cette pyramide est ornée de 365 marches, c'est le point commun qui uni ces deux batiments.</o:p>

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    Pourquoi avoir fait construire un temple maçonnique a deux pas de chez lui dans le champ de mars ?<o:p></o:p>

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    Le règne de l'Antéchrist durant l'espace d'une septaine, c'est à dire 2 périodes de 42 mois distinctes, le double septennat du président François Mitterrand est intéressant à plus d'un titre si on les resitue dans une perspective de la préparation de l'avènement du Grand monarque annoncé entre autres par Nostradamus et qui serait censé restaurer " la paix ", objet de mises en garde Bibliques, dans le Saint Empire Romain reconstitué, c'est à dire l'Europe, (l'Union Européenne) en étroite collaboration avec le " Souverain Pontife " siégeant à Rome.

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    Alors qui était donc cet homme, et quel était su réel but ? 

     

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    Je fais don de ma personne au maréchal Pétain comme il a fait don de la sienne à la France. Je m’engage à servir ses disciplines et à rester fidèle à sa personne et à son œuvre ! (François Mitterrand)

     

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    Dom Perignon 
    Devenu moine à Hautvillers en 1658, Dom Pérignon y est remarqué pour son intelligence et sa charité. Il est nommé en 1668 cellérier de l'Abbaye et, en peu de temps, confère à son vin une grande notoriété.
    Il va être à l'origine de toutes les découvertes ou perfectionnements qui, d'un simple cru local, frais et léger, non effervescent, font naître le roi des vins : le Champagne.
    Il remarque que la légère prise de mousse naturelle convient à la fraîcheur de son vin et l'accentue par un petit ajout de sucre : c'est le début de la méthode Champenoise.
    Le premier, il pratique le pressurage rapide et fractionné qui produit un jus blanc.
    Surtout, il invente la base du Champagne actuel : l'assemblage. Doté d'un palais prodigieux, il parvient à obtenir une qualité et un goût constant et équilibré en dosant subtilement un mélange de plusieurs crus.
    Enfin, pour conserver au vin sa fraîcheur et sa mousse, il remplace par des bouchons de liège maintenus par une ficelle le chanvre imprégné d'huile, renforce les bouteilles pour éviter l'éclatement et fait creuser en pleine craie des caves à température et humidité constantes.
    L'Abbaye devenue musée et la cuvée de prestige "Dom Pérignon" rendent un hommage mérité au "père du Champagne".
    Mais ce que lhistoire oublie de dire cest que Dom Pérignon était moine à Limoux, et comme il passait plus de temps dans les caves avec ses bouteilles de vins quil tournait et retournait jours après jours, son supérieur le
    fit envoyer en champagne pour le punir, et voila comment est née la méthode champenoise.
     

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    JEANNE ACHETTE
     
    L'HEROIQUE DEFENSE DE JEANNE HACHETTE ET DES FEMMES DE BEAUVAIS
    Assiégée depuis le 27 juin 1472 par les troupes du duc de Bourgogne, Charles le Téméraire, la bonne ville de Beauvais semble perdue. Mais, le 22 juillet, le courage et la hardiesse de ses habitantes vont forcer l'ennemi à abandonner la place et à faire retraite. Les Beauvaisiennes y gagneront la reconnaissance de Louis XI et le privilège de se vêtir "comme bon leur semblera". Jeanne Laisné, elle, y gagnera le surnom de "Jeanne Hachette" et le privilège d'entrer dans la légende de l'Histoire de France.Après avoir envahi la Picardie, Charles le Téméraire marche sur Beauvais. Le 27 juin 1472, à la tête de 80 000 hommes, le duc de Bourgogne n'a aucun mal à s'emparer des faubourgs. Dépourvue de toute garnison, la ville ne peut guère compter sur la protection de ses remparts, peu élevés et dont les fortifications sont quasiment en ruine. Dans la cité assiégée, la panique règne, et l'on se presse vers les portes. L'évêque est au nombre des fuyards. Outrée de le voir ainsi abandonner ses ouailles dans la détresse, une opulente bourgeoise, l'épouse de maître Jean de Bréquigny, saisit la bride de son cheval et le force à rebrousser chemin. Sa hardiesse rend courage à toute la population, qui jure de se défendre et de tenir bon. En hâte, les hommes s'arment de leur mieux. Les enfants ravitaillent les combattants en poudre et en flèches. Les femmes dépavent les rues et font pleuvoir une grêle de pierres sur les assaillants. Plusieurs d'entre elles se saisissent de piques ou de haches et montent sur les remparts, où d'autres ont hissé la châsse de Sainte Agadrême, patronne de Beauvais.Au premier assaut, porte du Lymaçon, les Bourguignons sont repoussés. Au deuxième assaut, porte de Bresle, ils sont accueillis avec la même farouche détermination. C'est alors qu'entre en scène une jeune fille de dix huit ans, Jeanne, cardeuse de laine de son état et fille de Mathieu Laisné, un modeste artisan. "La porte était enfoncée, peu ou point de soldats pour la défendre. Mais les habitants se défendaient (...). Les femmes vinrent se jeter sur la brèche avec les hommes; la grande Sainte Agadrême, qu'on portait sur les murs, les encourageait; Jeanne Laisné se souvint de Jeanne d'Arc", relate l'historien Jules Michelet dans son Histoire de France. Jeanne grimpe sur la brèche, où un Bourguignon s'apprête à planter son étendard. Elle arrache sa bannière au soldat, lui fend le crâne d'une coup de hachette et le précipite dans le fossé au bas des murailles.Le 22 juillet, après onze heures d'un combat acharné, Charles le Téméraire, vaincu par la résistance si opiniâtre de tout un peuple, doit lever le siège et ordonner à ses troupes de se replier. Beauvais est sauvée. Quelques jours plus tard, le maréchal Joachim Rouault ouvre les portes de la ville à Louis XI. Au roi et à son armée, qui pourtant arrivent trop tard, les Beauvaisiens font un triomphe. En grande pompe, un cortège accompagne Jeanne jusqu'à l'église des Jacobines. La jeune fille y dépose pieusement aux pieds de Saint Agadrême l'étendard bourguignon, fait de toile blanche fleuronnée et damassée, orné de figures et d'armoiries dorées.Louis XI accorde de nombreux privilège à sa bonne ville de Beauvais. Pour consacrer son héroïque défense, il décrète, par ordonnance royale datée de juin 1474, que chaque année, le jour de la fête de Sainte Agadrême, aura lieu une procession solennelle où les femmes auront le pas sur le clergé et les hommes. Ce sera la "fête de l'Assaut", célébrée chaque dernier week end de juin. En outre, les courageuses Beauvoisiennes se voient conférer un privilège alors exorbitant : porter les mêmes vêtements que les dames de la noblesse. "Toutes les femmes et filles qui sont à présent et seront à tout jamais de ladite ville se pourront, le jour de leurs noces, et toutes autres fois que bon leur semblera, parer, vêtir et couvrir de tels vêtements, parements, joyaux et ornements que bon leur semblera, sans que, pour ce, elles puissent être aucunement notées, reprises ou blâmées, de quelque état ou condition qu'elles soient".L'épisode de la courageuse jeune fille repoussant les assaillants avec une petite hache n'est mentionné dans aucun texte de l'époque. Sans doute le surnom de "Jeanne Hachette" n'a-t-il été attribué à l'héroïne qu'après les faits. Néanmoins, le chroniqueur Loysel rapporte que "toutes les femmes de la ville (...) se montrèrent si vaillantes en ce siège qu'elles ont surmonté la hardiesse des hommes de plusieurs autres villes". C'est donc en toute justice que le roi a rendu hommage à Jeanne Hachette et à ses concitoyennes. 
     

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    La main de Fatma
     
    Se trouve également encore, qu’en Arabe, le mot désignant le nord et la gauche sont de la même racine : en Arabe, il existe plusieurs mots signifiant la gauche, et l'un de ces mots est chamal (شَمَل). De la même racine que celle de ce mot, on tire également le mot nord, qui se dit chimal (​شِمَل). De l’autre coté, sans jeux de mots, la relation est moins directe avec la droite. Le sud se dit djanoub en Arabe (جَنوب), tandis que djanb (جَنْب) signifie « à coté de », ... ce « à coté de » étant plus directement associé au coté droit (dans la quasi-totalité des sociétés humaines, le coté droit est associé au meilleur coté... mais ce n’est bien sûr qu’un symbole, ne pouvant justifier aucun dénigrement envers les gauchers et les gauchères).
     
    Nous voici donc avec 14 phalanges, à droite, ou encore au sud, du coté du jour, et 14 phalanges à gauche, ou encore au nord, du coté de la nuit. Dans la culture arabe, le nord est en effet associé à la nuit, et le sud associé au jour... le mot midi se dit djanoub, tout comme le mot sud. La relation entre les 14 lettres solaires et les 14 lettres lunaires est maintenant évidente.
     
    Le troisième est dernière signification la moins contestable de la Main de Fatima, la ramène donc à l’alphabet et à l’écriture. Rappelons, si encore cela est vraiment nécessaire, que la main est l’instrument traditionnel et privilégié de l’écriture (même l’informatisation ne le dément pas).
     
    Comment interpréter la Main de Fatima aujourd’hui ?
    Toutes les explications précédemment données sont subtiles, et on peut douter que les personnes qui portent la Main de Fatima se posent tant de questions. Et de plus, ces significations ont des origines anciennes, et les origines n’expliquent pas toujours tout du présent d’une chose. Il faudra maintenant se pencher sur la perception populaire et contemporaine de la Main de Fatima.
     
    De tout ce qui précède, nous comprenons que la Main de Fatima n’est pas un symbole religieux, et ceci est admis abondamment par les personnes concernées. Nous savons également que l’Islam lui-même, auquel une certaine naïveté l’associe, ne la reconnais pas comme symbole de l’Islam (et ceci est encore sans compter que certain-e-s Musulman-e-s la rejeté même).
     
     
    Une des versions sur l’origine de la main de Fatma remonte a l’époque des croisades, nous dit que quand un musulman tuait un croisé il trempait sa main dans le sang de sa victime et déposait l’empreinte sanglante sur la porte ou le mur d’un édifice religieux chrétien, une église par exemple.
     
     
    Comment alors interpréter la Main de Fatima aujourd’hui, de manière contemporaine, et ensuite comment l’interpréter au sein des pays « laïques », dont la France est un exemple, et dont les populations, par ignorance, peuvent être pourtant portées à voir du religieux là où il n’y en a pas ?
     
    Tout d’abord en réponse à certaines idées selon lesquelles les Musulman(e)s ne devraient pas porter la Main de Fatima, au prétexte qu’elle serait du shirk (idolâtrie païenne), je répondrais que je ne n’ai jamais vu personne lui vouer un culte, ou lui offrir des attitudes ou des gestes idolâtres. Elle n’a rien de religieux, certes, mais elle n’a rien d’antireligieux non-plus.
     
    Si les trois religions monothéistes ont tenté d’interdire certains rites et certains objets, c'est pour tout ce que ces objets portaient potentiellement de sombre à leurs yeux (quoi que certaines religions aient aussi inventé de toutes pièces des significations sombres à des choses qui n'avaient rien de sombre à l'origine). Et la main de Fatima ne porte rien de sombre, et ne mérite à aucun titre d’être interdite par ordonnance religieuse.
     
    La Main de Fatima ne doit pas être interprétée comme un talisman au sens profond du terme. Les gens qui portent des talismans nourrissent une autre attitude, et les porte avec un sentiment d'inquiétude. Car lorsque l'on porte quelque chose pour conjurer le mauvais sort, c'est l'âme elle-même qui est habitée par la peur et l'inquiétude. Et au contraire, les gens qui portent une Main de Fatima le font avec bonheur, comme s'ils/elles portaient une chose belle et agréable (au pire ils/elles s’en fichent, et la porte comme un bijou, le plus souvent en toc, et sans plus).
     
    La Main de Fatima est comme un geste de la main.... justement. Un signe de bon augure, comme une belle chose. C'est en tout cas son usage actuel, quand elle a une signification... et pour s'en convaincre, il n'y a qu'à voir les inspirations artistiques dont elle est à l'origine. Elle autant source d’inspiration pour sa décoration, que source d’inspiration en tant qu’objet de décoration (dans quelques restaurants Maghrébins par exemple).
     
    C'est aussi pour la personne qui la porte, une façon de marquer d'une jolie manière, ses origines Maghrébines, ou ses amitiés avec les populations Maghrébines : la Main de Fatima est aussi un symbole du bilad (بلد, le pays : bilad est un mot qui signifie « pays » ou « terre d’origine » en Arabe).
     
    Pour comprendre ce qu’elle représente de nos jours, il faut être réceptif(ve), à ce que communiquent ceux/celles qui la portent quand ils/elles la portent.... et c'est plutôt des bonnes choses simples que l'on ressent.
     
    Aujourd’hui et dans le monde qui nous entoure, la Main de Fatima est un symbole ethnique, ou plus précisément culturelle, car il n’existe pas d’ethnie Arabe au sens propre du terme, et l’identité Arabe, qui couvre plusieurs ethnies, est historiquement et avant tout, une identité linguistique et culturelle. C’est un symbole culturel, aux interprétations personnelles, généralement belles, qu’il faut donc associer la Main de Fatima.
     
     

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    Jean Markale
    Jean Markale, spécialiste des civilisations celtiques et de leur mythologie, est mort dimanche 23 novembre à Auray (Morbihan) à l'âge de 80 ans. Mi-Breton, mi-Irlandais, son enfance avait été bercée par les légendes racontées par sa grand-mère, qui habitait près de la forêt de Brocéliande.
     
    Jean Markale est né le 23 mai 1928 à Paris de parents bretons. De son vrai nom Jacques Bertrand, il avait emprunté son pseudonyme au roi Mark de la mythologie celtique et connaissait sur le bout des doigts la légende arthurienne.
     
     
     Après des études à Paris, il fut pendant 25 ans professeur de lettres classiques dans un lycée parisien, avant de se consacrer uniquement à l'écriture à partir de 1979, date de publication de la «La Femme celte» (Payot). Auteur prolifique, il a publié plus d'une centaine d'ouvrages, consacrés pour la plupart aux civilisations celtiques, et plus particulièrement au cycle du roi Arthur, parmi lesquels un «Cycle du Graal» en huit tomes, «Contes et légendes des pays celtes», «Vercingétorix», «Druides et chamanes» ou «Petite Encyclopédie du Graal».
     
    Il s'intéressait également à l'ésotérisme à travers des sujets comme les Cathares, les Templiers ou la légende de «l'or du diable» de Rennes-le-Château, faisant preuve d'une imagination débordante. A ceux qui lui reprochaient son manque de rigueur scientifique, il répondait: «Je préfère être considéré comme poète plutôt que comme chercheur.»
     
    «Il a fait découvrir à un large public l'épopée celtique, connaissance auparavant réservée à une petite élite de chercheurs», a souligné Claire Fourier, une proche de Markale, écrivain elle aussi.
     
    Son 103e ouvrage, «L'Homme lesbien» devrait paraître en janvier. 
     
    C’est grâce a cet homme que j’ai tant appris sur notre passé et notre civilisation, je ne le remercierais jamais assez de m’avoir ouvert les yeux et permis de savoir regarder.
     
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    Cycle du graal
    La naissance du roi Arthur - Le cycle du Graal T1
    Les chevaliers de la Table Ronde - Le cycle du Graal T2
    Lancelot du lac - Le cycle du Graal T3
    La Fée Morgane - Le cycle du Graal T4
    Gauvain et les chemins d'Avalon - Le cycle du Graal T5
    Perceval le Gallois - Le cycle du Graal T6
    Galaad et le roi pêcheur - Le cycle du Graal T7
    La mort du roi Arthur - Le cycle du Graal T8
    La grande Épopée des Celtes
    Les conquérants de l'île verte
    Les compagnons de la branche rouge
    Le héros aux cent combats
    Les triomphes du roi errant
    Les seigneurs de la brume
    Autres livres
    Aliénor d'Aquitaine
    Amour et sexualité chez les Celtes
    Brocéliande et l'énigme du Graal
    Carnac et l'énigme de l'Atlantide
    Charlemagne et Roland
    Chartres et énigme des druides
    Chateaubriand au-delà du miroir
    Contes et légendes des pays celtes
    Contes de la mort
    Contes populaires de Bretagne
    Contes populaires grivois des pays de France
    Dolmens et menhirs
    Druides et chamanes
    Gisors et l'énigme des Templiers
    Guide spirituel de la forêt de Brocéliande
    Halloween
    Histoire secrète de la Bretagne
    Histoire de la France secrète
    L'amour courtois
    La femme celte
    La grande déesse
    La Tour de Nesle
    La tradition celtique en Bretagne armoricaine
    La fille de Merlin
    Lancelot et la chevalerie arthurienne
    Le chêne de la sagesse
    Le Druidisme
    Le Mont-Saint-Michel et l'énigme du dragon
    Le Roi Arthur et la société celtique
    Le christianisme celtique et ses survivances populaires
    Le périple de Saint Colomban
    Le tombeau de Merlin
    L'énigme des vampires
    L'énigme du Saint Graal de Rennes-le-Château à Marie-Madeleine
    L'Epopée celtique en Bretagne
    L'Epopée celtique d'Irlande
    Légendes de Bretagne
    L'épopée des Gaulois
    Les révoltés de Dieu
    Les saints fondateurs de la Bretagne et des pays celtes
    Les Dames du Graal
    Les Celtes et la civilisation celtique
    Les Mystères de l'après-vie
    Mélusine
    Mémoires d'un celte
    Merlin l'Enchanteur ou l'Eternelle quête magique
    Montségur et l'énigme cathare
    Notre-Dame de la nuit
    Paroles celtes
    Petite encyclopédie du graal
    Pour une rose
    Rennes-le-Château ou l'énigme de l'or maudit
    Siegfried ou l'or du Rhin
    Sites et sanctuaires celtes
    Vercingétorix

     


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    La cour des miracles
    Au Moyen Age, la Cour des Miracles était une cour parisienne abritée par la rue Saint-Sauveur, la rue de la Mortellerie et la rue de la Truanderie. La police ne venait que rarement dans ce quartier délabré et sombre. La Cour logeait des mendiants, des aveugles, des paralysés, des nains et toutes sortes de personnages tous plus répugnants les uns que les autres, toute la truanderie grouillait dans ce sombre quartier. La journée, ceux-ci se rendaient dans les plus beaux quartiers de Paris, et profitaient de leur laideur pour apitoyer les bourgeois, afin que ceux-ci leur donnent l’aumône. En réalité, aucun d’eux ne souffrait réellement d’un quelconque handicap. On qualifie aujourd’hui un lieu de "Cour des Miracles" lorsqu’il semble mal fréquentée et que l’on ose à peine s’y aventurer.
    C’est des milliers de cour des miracles que nos villes abritent à présent, ou des bandes ethniques se regroupent après leurs délits.
     

     


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    Les naufrageurs de Bretagne
     
    Qui voit Ouessant voit son sang, qui voit Sein voit sa fin", affirme le dicton. Un propos bien justifié par des passes dangereuses, des courants violents et un brouillard fréquent ont justifié depuis des siècles le proverbe. La région de Brignogan dans le Finistère est le pays des "pagans", farouches pilleurs d’épaves qui pouvaient transporter en une nuit la cargaison d’un navire entier. On a raconté sur eux bien des légendes : qu’ils liaient des torches aux cornes de taureaux boiteux pour que leur balancement rappelle les feux destinés à guider les bateaux vers les ports ; qu’ils illuminaient les églises et chapelles des falaises pour y attirer les vaisseaux… Rien n’est vraiment prouvé si ce n’est que leur pauvreté les amenait à prier pour que des naufrages aient lieu, comme si ces catastrophes pouvaient être des bénédictions divines. C’est ainsi que les naufrageurs attiraient les bateau vers les rochers pour qu’ils s’échouent et qu’ils puissent les piller, c’est actes de piraterie côtière étaient toléré par le roi qui demandait la moitié du butin. 
      
     

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