• voir l'image en taille réelle


    le dicton des Rameaux

    Le Dimanche des rameaux, le vent du jour des rameaux sera le vent qui dominera tout l'eteé !


    voir l'image en taille réelle
    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    4 commentaires
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    Faire la bombe.
    <o:p></o:p>

    voir l'image en taille réelle

    Pour trouver l’origine de cette expression, il ne faut pas chercher du côté des explosifs. Le mot bombe est, en fait, une abréviation de bombance. En ancien français, bombant, c’était des paroles que l’on prononce très fort sur un ton fanfaron. Peut-être est-ce parce que l’abus de boisson à table est propice à des propos tonitruants que La Fontaine l’emploi dans le sens de ripaille : « Maints rats assemblés faisaient aux frais de l’hôte une entière bombance. » Aujourd’hui faire la bombe réunit les deux sens : c’est ripailler, rigoler, dans un vacarme digne d’une fin de banquet.  
     
    <o:p> voir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réellevoir l'image en taille réelle</o:p>


    votre commentaire
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

     

     

    voir l'image en taille réelle

    Filer a l’Anglaise<o:p></o:p>

    Il eût été étonnant que plusieurs siècles d'inimité entre l'Angleterre et la France n'eussent laissé des traces dans leurs langages respectifs. Jusqu'au 19ème siècle, un grippe-sou était appelé familièrement un "Anglais". Rabelais emploie l'expression "saoul comme un Anglais". A nos yeux, seuls les britanniques peuvent être assez goujats pour quitter une compagnie sans dire au revoir. Ceux-ci nous le rendent bien en disant "s'enfuir à la française". Peut-être était-ce également une allusion aux prisonniers de guerre qui partaient fréquemment sans demander leur reste.

     

    <o:p>voir l'image en taille réelle</o:p>


    votre commentaire
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    voir l'image en taille réelle

     

    LE PIQUE-NIQUE

    <o:p></o:p>

    Nous ne sommes pas les premiers à pratiquer le déjeuner sur l'herbe. C'est même une habitude très ancienne. Au Moyen Age, les gens avaient coutume de se retrouver pour des pique-niques où chacun amenait son plat. Ce n'est pas non plus, comme beaucoup le pensent, les Anglais qui nous ont passé cette mode. Contrairement à ce qu'affirme le dictionnaire Littré, les mots anglais pick et nick sont apparus cinquante ans après le terme français de pique-nique. Piquer, c'était picorer. Une nique, c'était une chose sans valeur.

     

    <o:p></o:p>


    2 commentaires
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    voir l'image en taille réelle 

     

    « D'OU VIENT L'EXPRESSION : ECOLE BUISSONNIERE ? »   <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

      Au 17ème siècle, certains auteurs, dans le dictionnaire de Furetière en 1690, disent que l'école est buissonnière lorsqu'on la fréquente si peu, que les ronces et les buissons y naissent. Plus loin dans le temps : au Moyen-âge, une école buissonnière était une école clandestine tenue en plein air, dans des lieux écartés, par des maîtres qui ne voulaient pas s'acquitter de la redevance ecclésiastique. Le sens de l'expression a bien évolué depuis ses origines ! 

     

    <o:p>voir l'image en taille réelle</o:p>


    3 commentaires
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    voir l'image en taille réelle

     

    FAIRE CHOU BLANC

     <o:p></o:p>

    Cette expression, employée pour dire qu'on a manqué son coup, n'a probablement rien à voir avec le légume, mais serait empruntée au jeu de quilles. On disait d'un joueur qui n'avait abattu aucune pièce qu'il avait "fait chou blanc", coup se prononçant "choup" en patois berrichon. Le jeu de quilles, passe-temps traditionnel du 16ème siècle, fut pour une grande partie de la France ce que la pétanque est aujourd'hui pour le Midi, et a donné naissance à quantité d'expressions (comme un chien dans un jeu de quilles, la quille...).

     

    <o:p>voir l'image en taille réelle</o:p>


    1 commentaire
  •  

    <script type="text/javascript">// --></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    Etre bredouille !<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le trictrac, notre jeu de jacquet, était un jeu à la mode au 16ème siècle. Y jouer bredouille, c'était parcourir toutes les cases du plateau sans même que l'adversaire n'ait eu l'occasion de jeter ses dés. Celui-ci était alors comme enlisé dans la bredouille, la boue. Le vainqueur pouvait se vanter de l'avoir mis en bredouille. L'expression dépassa ensuite les cercles de jeu. Etre bredouille signifia être un peu éméché. Puis le sens se modifia encore : une femme sortait bredouille d'un bal lorsque personne ne l'avait fait danser. Au 19ème, ce fut rentrer de la chasse la gibecière vide. Aujourd'hui, c'est plus généralement ne pas obtenir ce qu'on cherche, ou bien rentrer de la pêche sans poisson, ou encore revenir de la cueillette des champignons sans la queue d’un etc.

    <o:p></o:p>


    votre commentaire
  •  

     

     voir l'image en taille réelle  voir l'image en taille réelle  voir l'image en taille réelle 

     

       Entre chien et loup

     

    C'est la tombée du jour,  l'heure inquiétante des mauvais coups. C'est le moment où le voyageur, ne distinguant plus

    les détails, peut faire des confusions fatales, comme celle de prendre un loup pour un chien. Ce passage du jour à la nuit est aussi le temps des angoisses : "Je crains l'entre chien et loup quand on ne cause pas", écrivait Mme de Sévigné. L'expression est très ancienne et se retrouve dans beaucoup de langues. Les Romains disaient inter canem et lupum.

     

    <o:p>voir l'image en taille réelle</o:p>


    votre commentaire
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

    voir l'image en taille réelle 

    "DE BUT EN BLANC"

    <o:p></o:p>

    La bute signifiait autrefois l'endroit où l'on se place pour tirer, généralement sur une butte. Quant au blanc, c'était la cible. D'où l'expression "de but en blanc" pour dire brusquement, de la manière la plus directe.

    <o:p>voir l'image en taille réelle</o:p>


    2 commentaires
  • <script type="text/javascript"></script> <script src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js" type="text/javascript"></script>

     

     Au milieu du XVe siècle, on disait "avoir les oreilles qui cornent". Cette expression a évolué en "avoir les oreilles qui sifflent". Cela signifie qu'une personne dont on parle en son absence est censée pressentir que l'on parle d'elle. En général, on dit qu'une personne doit avoir les oreilles qui sifflent lorsque l'on en dit du mal. 

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique